La folle générosité du grand gagnant de l’Euromillions de Haute-Garonne

Le grand gagnant de l’Euromillions de février dernier, qui a empoché plus de 72 millions d’euros, vient d’annoncer tout en se réfugiant dans l’anonymat qu’il allait donner plus de 50 millions d’euros à des associations caritatives.

Ce veinard a remporté le 7e plus gros jackpot de l’histoire de l’Euromillions. Mais en en redistribuant environ 70 %, il devrait devenir haut la main le grand gagnant le plus généreux de l’histoire des jeux de hasard en France. Dans la cinquantaine, l’homme n’a pas d’enfants. Vivant une vie plutôt confortable financièrement parlant, il a décidé d’en faire profiter de nombreuses grandes oeuvres de bienfaisance nationales.

L’homme souhaite que tout se fasse dans la discrétion, en protégeant son anonymat. Par rapport à son acte altruiste, il n’a qu’une exigence : recevoir un rapport détaillé expliquant à quoi les fonds ont été utilisés. Pour le reste, le chanceux souhaite continuer de vivre une vie normale.

C’est évidemment un très beau geste, mais il lui restera tout de même une vingtaine de millions d’euros après sa campagne de dons : de quoi finir tranquillement sa vie les doigts de pied en éventail. Lorsqu’il a gagné, ce joueur a hésité pendant quelques jours avant de se faire connaître auprès de la Française des jeux pour obtenir le paiement de ses gains.

Si le cas de ce joueur est plutôt rare, il n’est pas isolé : l’année dernière, une gagnante canadienne a reversé l’intégralité de son jackpot de plus de 20 millions à des œuvres caritatives. La plupart des grands gagnants se contentent de dons plus modestes. Pour d’autres, comme les Weir, ils créent leur propre association afin d’avoir un contrôle total sur la destination des sommes données. Histoire d’éviter le scénario de l’affaire Crozemarie…

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