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Et les 153 millions de l’EuroMillions atterrissent dans les poches d’un Belge !

Article publié le mardi 6 juin 2017

Presque 154 millions… on vous épargnera la somme exacte, tant quelques dizaines de milliers d’euros c’est insignifiant dans un tel flot d’argent ! C’est donc outre Quiévrain que le joueur chanceux qui a gagné la dernière cagnotte de l’EuroMillions se trouve. A moins qu’il soit déjà parti en vacances prolongées…

euros

Le deuxième plus grand gagnant de l’EuroMillions de Belgique, le neuvième de la loterie européenne

Après avoir remporté ses 153,8 millions grâce à son bulletin ayant joué la combinaison suivante : 8 – 10 – 24 – 33 – 42 et étoiles 3 et 9, ce joueur belge se hisse sur la seconde marche du podium des plus grands gagnants de l’EuroMillions du Plat Pays. Ce qui signifie que le record de 168 millions d’euros, fixé en octobre 2016 par un habitant de Bruxelles, tient toujours.

Après 14 semaines de report, le jackpot a enfin fini par tomber pour combler de bonheur un joueur ou une joueuse. Nous ignorons si des vacances étaient déjà prévues, mais quoi qu’il en soit on peut déjà prévoir qu’il y aura du changement au programme.

Pour le tirage d’aujourd’hui, la cagnotte retombera à 17 millions d’euros. Pour la Belgique, ce tirage a permis au pays d’engranger un beau bénéfice. Alors que les joueurs belges ont misé 7,8 millions d’euros, ils en auront gagné près de 20 fois plus… ou plutôt il !

Le fils d’un gagnant de l’EuroMillions abandonne son nom de famille après que son père refuse de lui donner de l’argent

Nouvelle preuve des problèmes familiaux qui peuvent découler d’un gain de l’EuroMillions, voici une drôle d’histoire qui nous vient de Grande-Bretagne. En 2011, David Dawes remporte plus de 100 millions de livres sterling à l’EuroMillions, ce qui lui permet d’entrer dans le cercle restreint des très grands gagnants de la loterie européenne. Son fils Michael, dans la trentaine, s’attend donc à vivre la belle vie. Et de fait, son père se montre plutôt généreux envers lui : dans les deux années qui ont suivi, il a reçu plus de 2 millions d’euros de son père. De l’argent qui a été dépensé aussi vite qu’il a été reçu, notamment en finançant l’achat d’une maison de plus d’un demi-million à Portsmouth, ou encore en donnant 250.000 livres à la famille de sa femme.

Le fiston abandonne son job dans l’informatique, apparemment bien décidé à vivre aux crochets de son père jusqu’à ce qu’il hérite de son pactole. En 2013, son papa est abasourdi d’apprendre qu’il a déjà dilapidé tout l’argent qu’il lui avait donné. Malgré tout, il continue d’alimenter son compte en banque. En mars 2013 a lieu la première altercation : le père accepte de rembourser les dettes de son fils, mais il ne lui donnera plus rien. Et en novembre 2013, à l’occasion de l’anniversaire de la femme du gagnant, la dispute dégénère alors que tout le monde est bien imbibé. Le fils exige 5 millions de livres de son père, des attaques sont lancées… le père et le fils coupent les ponts.

Mais le fiston ne s’arrête pas là. Pensant que cet argent lui revient de droit, il attaque en justice son père qui n’aurait pas le droit de lui couper le robinet des liquidités ! Le juge, qui a eu l’occasion de jeter un œil sur le train de vie du fils, n’en a pas cru ses yeux : il pouvait dépenser de 20 à 30.000 livres par mois.

Le papa, un militaire de carrière, avait été pourtant bien clair avec son fils : il recevra 1 million de livres, ce qui devrait être suffisant pour qu’il vive sans s’endetter, mais en continuant de travailler.

Mécontent du verdict de la justice, Michael a changé son nom sur les réseaux sociaux, il utilise maintenant le patronyme de sa femme.

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Vos commentaires

Quand!!!!!!

Comme de quoi l’argent peut pèter au cerveau….