Adrian et Gillian Bayford, grands gagnants de l’Euromillions, se séparent

Lorsqu’ils ont remporté la somme vertigineuse de 148 millions de livres sterling l’année dernière, Adrian et Gillian Bayford avait juré que cet argent ne les changerait pas, comme de nombreux autres grands gagnants de l’Euromillions et du loto, affirmant que leur priorité restait leurs 2 enfants. Malheureusement, entre ses souhaits et la réalité, il y a souvent une marge. Et pour ce couple de millionnaires, cette marge représente leur mariage, qui vient de voler en éclats, moins d’un an après avoir remporté l’un des plus beaux jackpots de l’Euromillions.

La nouvelle a été confirmée par le porte-parole de Gillian le 19 novembre. Il a déclaré : « Gillian Bayford confirme que son mariage avec Adrian est perdu de façon irréversible et qu’ils se sont séparés.  Gillian ne fera plus de commentaires à ce sujet, aujourd’hui et à l’avenir. »

Le mari a déjà quitté le domicile familial, un manoir d’une valeur de 6 millions de livres, pour déménager dans une maison de 4 chambres à coucher d’une valeur d’un demi-million. En juillet, des rumeurs avaient circulé à propos de Gillian, qui aurait entretenu une liaison extraconjugale. À l’époque, elle avait démenti l’information, en affirmant que rien n’avait changé et qu’une séparation n’était pas à l’ordre du jour. « Chaque femme a ses petites activités dans son coin. Mais cela ne signifie pas que j’ai un amant. »

Cependant, lorsque le couple a fermé le centre d’accueil et d’activités pour enfants qu’il venait tout juste de sauver de la fermeture 3 mois auparavant, à la grande colère des parents des enfants, les ragots avaient commencé à circuler : il y aurait de l’eau dans le gaz. Apparemment, les suspicions étaient fondées.

Après leur gain, Gillian avait démissionné de son poste d’aide soignante, tandis qu’Adrian avait tenté de continuer à gérer son petit magasin de musique, pour ensuite abandonner, étant sans cesse sollicité sur son lieu de travail par des quidams lui demandant de l’argent. Du jour au lendemain, ils s’étaient retrouvés 516^e au classement des plus grosses fortunes de Grande-Bretagne.

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